Wheel World is an excellent game, bringing a realistic weightiness from the bike handling and merging it with a beautiful world that's a joy to explore.
Wheel World is truly an ode to cycling, masterfully represented in its beautifully stylised world, rich with content and secrets. Despite a few technical issues and inconsistencies, it provides a relaxing trip to a colorful world of cycling.
Quand Annapurna édite un jeu, j’ai tendance à leur faire confiance. Ils ont déjà prouvé leur flair avec des perles comme Edith Finch, Sayonara Wild Hearth, Gorogoa ou encore Cocoon. Leur nouveau titre, développé par Messhof et sorti en 2025, avec le cyclisme et la nature à l'honneur, ne déroge pas à la règle : un jeu cozy, dans un petit monde ouvert à taille humaine, à la fois relaxant et stimulant. Disponible sur le Game Pass, il m’a immédiatement attiré — d’autant plus que je me suis récemment offert un vélo électrique pour mes trajets quotidiens. Je ne conduis pas, j’ai un abonnement général, ma femme prend souvent la voiture mais moi j’adore marcher. Le vélo m’a apporté une autre forme de liberté. Forcément, cela m’a donné encore plus envie de plonger dans cet univers celebrant la petite reine. Je vous avoue que je n'ai pas pu m'empêcher de penser à Ken Bogard et à Fildrong, qui sont deux youtubeur jeux vidéo que j'aime beaucoup qui adorent faire du vélo. Dans ce jeu, on incarne KAT qui doit aider un crâne nommé Skully à reconstruire son vélo légendaire. Objectif : traverser les « égouts de l’esprit » et permettre la transmigration des âmes de Wheel World vers la Lune. Pour y parvenir, il faut explorer, accumuler de la réputation via des courses, améliorer son boost grâce à des sonores collectés et upgrader son vélo avec des pièces glanées ici et là. Les champions, disséminés sur la carte, représentent les grands défis : il faut suffisamment de réputation pour les affronter, puis les battre lors de courses plus longues et plus exigeantes. Petit à petit, on récupère ainsi les objets légendaires nécessaires à la quête.Néanmoins, sans vous spoiler, notez que cette quête représente plus ou moins la moitié du jeu. Mais je ne vous en dis pas plus pour vous laissez la suprise de la suite, qui apporte un plus niveau contenu, narration et diversité **** courses, d’ailleurs, sont à la fois relaxantes et punitives. Une erreur se paye cash, mais heureusement, on peut relancer très facilement. Chaque épreuve propose en général trois objectifs : finir dans le top 3, viser la première place et battre le temps du mythique Tom, cycliste légendaire, tout en ramassant les trois lettres KAT disséminées sur le parcours. Gestion de la vitesse, des virages, du boost (rempli par l’aspiration, les sauts, etc.) : le gameplay, sans être révolutionnaire, demande un minimum de finesse. En dehors des compétitions, le monde ouvert invite à l’exploration et à la contemplation. On y trouve des caisses de matériel, des port-oilettes servant de téléporteurs, une monnaie à dépenser dans les shops, des cyclistes solitaires à défier et surtout une ambiance légère et attachante. La direction artistique en cel-shading fonctionne à merveille : il y a même un petit côté Wind Waker dans le design des visages. Techniquement, le jeu n’est pas très gourmand. J’ai noté quelques éléments apparaissant **** dans le décor (peut-être lié au cloud gaming dans mon cas), mais rien de bloquant. Côté son, les musiques savent se faire discrètes, mais elles brillent lors des affrontements notamment contre les champions. Les bruitages font le job, il n’y a pas de doublages, mais l’écriture des dialogues compense largement : beaucoup d’humour, de malice et même quelques surprises scénaristiques qui prolongent le plaisir. Ceux qui ont déjà vaincu les champions que l'on nous présentent en début de jeu savent de quoi je parle… Le jeu rappelle A Short Hike dans sa philosophie : un monde ouvert réduit mais parfaitement pensé, qui respecte le temps du joueur et remplit pleinement ses objectifs. Tout n’est pas parfait : j’aurais aimé pouvoir changer de pièces de vélo en pleine course sans devoir l’interrompre, et certains trouveront l’expérience trop facile, puisque les caractéristiques des composants influencent finalement peu la victoire. Mais cela reste du détail : rajoutez quelques pièces légendaires, et vous serez prêts pour tout. Bien que j'ai été très séduit par la proposition, j'ai lu ici ou là que pour certains Wheel World est un brouillon plus ou moins réussi, et qu'il aurait pu faire bien mieux. C'est pas totalement faux, bien que je ne me sente pas concerné par cette affirmation. Il manque de détail, de diversité dans les courses et quelques problèmes de collisions peuvent entâcher l'expérience. Mais au vu de sa durée de vie relativement courte (comptez 5-6 heures pour la quête principale), je dois avouer que ça ne m'a pas du tout dérangé. Et je n'attends pas forcément un Wheel World 2, le jeu se suffit à lui même, pas la peine d'en rajouter une couche. En définitive, Annapurna a encore eu le nez creux. Ce jeu de cyclisme, drôle, charmant et intelligent, est une petite bouffée d’air frais. Si vous avez le Game Pass ou que vous le trouvez à un prix qui vous convient, ne passez pas à côté : il mérite vraiment d’être découvert. Mon avis en vidéo sur la chaîne SoosKratoS: ****/watch?v=ZkrE9nEwJRI
It's good.
It's very self-explanatory- what you see is what you get. It's a simple, short little game about riding a bike.
The physics are great, the game looks really good, and as a whole is a great experience- just not anything to truly write home about.
Wheel World was a real surprise for me. Its simple yet detailed world, satisfying racing and customization options, and great music introduced me to the world of bike racing, which I didn't know I loved so much. Whether you like the genre or not, give Wheel World a try if you want to relax and have some fun without putting in too much effort.
That choice, to ride how you want, to shape your experience not just through specs but through connection, is the heart of Wheel World. It’s a title that take you by surprise offering more than expected through its flexibility and reverence.
The separate districts feel distinct and while they’re not interesting to explore per se, they do provide a pleasant backdrop as you go from race to race. In the end, I was just hunting for more ridiculous bike upgrades, including a frame that replaced my sleek bike with a massive hotdog. Wheel World isn’t everything I’ve ever wanted in a cycling game, but I appreciate all its polish - the sort of chill game you stick on for a couple of hours in the evening, do some races, and call it a day.
Wheel World is a fresh and surprisingly fun indie game that turns cycling into an engaging adventure. With smooth controls, a rich atmosphere, and a deeper-than-expected story, it pulls you in. Limited race variety and some technical hiccups hold it back from greatness, but it’s still a ride worth taking, especially for those who love exploration, style, and pedal power.
Wheel World just doesn't deliver on the promises it presents in its opening hour. You'll quickly find the charm starts to wear off as you complete monotonous race after monotonous race. That boredom only turns to frustration as the later races in the game become increasingly hostile, with no way for the player to push back. Add on a story that goes nowhere, and you have a game that just feels like it never got past the initial brainstorming session.
A fun little biking game. The first map is nice and vibrant and you have lots of stuff to explore and races to do. It's fairly easy to get all the goals done in the game, except maybe a few time trials you might have to come back to depending what you do first. But the world is just fun to bike around in. The 2nd zone however is more gated off and is just not appealing to look at, even though the races are still fun and offer a bit of a different challenge having tighter corners. The story overall and the ending are fairly lame, but you don't really come to a racing game for that. I'd also say the boss music specifically, with the lyrics, made me mute it. I never do that in games, but this was so annoying to me, just not feeling it at all. It's also only about 5 hours or so, so a nice GamePass game to spend an evening with.
Awful is likely to harsh for this mostly vibes based biking game with some decent cel shaded graphics and some ok moment to moment racing. But this game is just lacking everything, the performance is awful, the bike customization is a largely throwaway idea, and the characters/story are basically a zero.
If it weren't for the constant annoying glitches and bugs in this game, I might have rated Wheel World higher. Somewhere beneath the horrible collision hitboxes that see enemies hitting you when they're nowhere near, or you hitting a bad invisible hitbox that isn't properly aligned with the object in front of you, random feeling bumps and walls that turn you around for no reason or fling you in a different direction, awful keyboard controls that you can't remap meaning I got hand cramps from my palm being in an unnatural position, broken AI that will just fling itself at walls or even pass through cars, unpredictable cars that just go through walls, drive on the grass, or do a 180 in the middle of the road, broken UI that doesn't correctly tell you which button to press to buy a part, and a glitch in the second area of the game that makes the entire bottom eight of my screen constantly flash, inducing a migraine, there is a decent feeling cycling game. Wheel World doesn't overstay its welcome, so even though it basically has only three types of races, one of which has the same repeated objectives over and over again, boredom never sets in. What does set in, however, are the hand cramps, a migraine for the ages, and a severe disappointment that there wasn't at least another 3 months of QA testing done before the release.
SummaryGhost Bike puts players in the shoes of a streetwise kid from Freehub City on a mission to revive the last of the Ghost Bikes, the magical couriers who rode between the world of the living and the world of the dead. Ride the Ghost Bike to the afterlife, and save the lost souls of Wheel World. Abandoned and forgotten, the Ghost Bike ne...